HISTOIRE (TECHNOLOGIE)
HISTOIRE
HISTOIRE
Les grands discours qui ont marqué l'histoire
1-Nous commençons cette série avec Winston Churchill:
Vidéo:
Un vidéo remarquable sur Thomas Sankara que j'admire beaucoup!
Le vidéo:
Le début de notre série sur Mobutu Sese Seko!
LE TEXTE:
par Michel Duchaine, vendredi 3 février 2012,
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession,d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis. »
Thomas Jefferson ,en 1802.
A-La tentative de Lincoln
Les Rothschild ont financés les deux camps de la guerre civile américaine de 1861 à 1865. De décembre 1860 à mai 1861, onze états dont le système économique reposait sur l'esclavage (les états du Sud) démissionnèrent de l'Union et constituèrent les "Etats Confédérés d'Amérique". Cela provoqua la Guerre de Sécession, en avril 1861, contre les autres états de l'Union situés au Nord des Etats-Unis. Ce sont presque exclusivement des AGENTS DE ROTHSCHILD qui ont créé et fomenté la guerre civile. L'un de ces provocateurs fut GEORGES BICKLEY qui avait fondé les "CHEVALIERS DU CERCLE D'OR". Par l'intermédiaie de Bickley et ses chevaliers, la maison Rothschild insista sur les inconvénients que représentait l'Union pour les Etats confédérés. Dans les autres Etats de l'Union, par contre, les Rothschild, en se servant de "J.P. Morgan" et d'"August Belmont", mirent l'accent sur les avantages de l'Union.
La banque de Rothschild de Londres finança le Nord, celle de Paris le Sud. Quelle affaire colossale pour les Rothschild ! On ne peut être que le vainqueur quand on finance les deux camps et qu'on leur fournit les armes. Quels étaient les vaincus ? Les américains,bien sur: ceux des États du Nord et ceux des États du Sud (Mes salutations à Machiavel).
Cependant, le président LINCOLN qui avait percé le jeu des Rothschild refusa, en 1862 et 1863, de leur payer les intérêts qui s'élevaient à des sommes colossales. Il chargea, un peu après, le Congrès de faire imprimer les dollars "Green Back" pour payer les troupes de l'Union. Bien entendu, cela ne s'accordait pas au plan des Rothschild : la conséquence fut qu'un de leurs agents, JOHN WILKES BOOTH, tua sur leurs ordres Lincoln ,le 14 avril 1865. Celui-là fut, plus tard, libéré de prison par les "Chevaliers du cercle d'or" et passa le restant de sa vie très agréablement en Angleterre avec une somme rondelette offerte par les Rothschild.
Après la mort de Lincoln, les dollars "Green Back" furent à nouveau retirés de la circulation et rachetés à un prix ridiculeusement bas par les banquiers centraux Morgan, Belmont et Rothschild.
B-Kennedy
La mort de John Fitzgerald Kennedy n'est plus un mystère; l'assassin principal et final ainsi que la raison de son assassinat sont connus...
Voici,à part le "complot des tireurs triangulaires" ,une théorie qui accuse le chauffeur de la voiture présidentielle:
À partir du vidéo de Zapruder qui circule sur Internet (sur le WEB) depuis de nombreuses années, et vu dans le monde entier, il était déjà possible de percevoir et de voir ce qu'il en était... surtout si on le regardait image par image ou bout de séquence par bout de séquence avec beaucoup d'attention. Le mouvement de tête de Kennedy qui recevait une balle à la tête indiquait que celle-ci provenait de l'avant et se dirigeait vers l'arrière. Aussi, Madame Jackie Kennedy, en humaine normale, tentât de s'enfuir dans la direction opposée à la menace ambiante qui venait d'atteindre son marie et qui était perceptible par le bruit, indiquant clairement qu'il s'agissait d'un révolver ou d'un pistolet dans leur environnement immédiat! Quant à la provenance perçue par elle, sa réaction instinctive de fuite vers et par l'arrière de la voiture (ce qui nous apparaissait être complètement insensé à prime abord) nous l'indiquait clairement: Il s'agissait du chauffeur sur la banquette avant de la voiture, juste en avant d'elle... De plus, le gouverneur Cohanley, venait de recevoir plusieurs balles aux jambes et dans le thorax par la même provenance et s'était affaissé à ses pieds quelques secondes auparavant. Les balles avaient probablement été tirées par-dessous la baie vitrée. Et ce chauffeur avait terminé son travail par-dessus cette baie anti-balle pour atteindre le président JF Kennedy aux vues de Jackie.
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(HORS TEXTE)
[En fait, une copie de l'original, ou l'original lui-même, a été remis à un ex-journaliste, celui-là même qui avait reçu des informations sur l'avion canadien AVROW et qui en avait fait un reportage percutant : un avion de chasse très en avance sur son temps et sur ceux des autres pays. Mais qui a dû être détruit sur ordre des États-Unis...]
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Le président Kennedy avait compris que le système monétaire américain asservissait toute la population ainsi que son activité économique internationnale. Ce système monétaire privé, qui était fondamentalement un système d'asservissement automatisé, devait être remplacé par un système monétaire gouvernemental publique (institutionnel) avec bénéfice éventuel devant profiter à chaque citoyen. Ce serait là l'ultime libération de l'esclavagisme déguisé du petit peuple et que pour cela, il n'y avait pas d'autre solution! Cet esclavagisme sournois sapait tout autre effort pour accroître la richesse collective et qu'il devait être éradiqué de nos sociétés. C'est là l'une des raisons importantes pour lesquelles,il a été assassiné par la CIA...
C-Ronald Reagan
La version définitive de l'accord introduisant le "FEDERAL RESERVE SYSTEM" (la banque centrale privée d'Amérique) a vu le jour dans une propriété de J. P. Morgan sur Jekyll Island en Georgie. Les personnes présentes étaient les suivantes selon les recherches de Herbert G. Dorsey : A. Piatt Andrew, le sénateur Nelson Aldrich, Frank Vanderlip (président de la banque "Khun Loeb & Co."), Henry Davidson (associé de la J. P. Morgan Bank"), Charles Norton (président de la "First National Bank" de Morgan), Paul Warburg et Benjamin Strong (président du "Bankers Trust Co." de Morgan).
La création de la "Federal Reserve" en 1913 permit alors aux banquiers internationaux de consolider leur puissance financière aux États-Unis. PAUL WARBURG devint le premier président de la "New York Federal Reserve Bank".
Le décret du "Federal Reserve" était suivi de l'introduction du 16ème article complémentaire de la Constitution étatsunienne qui donnait, désormais, la possibilité au Congrès d'imposer le revenu personnel des citoyens étatsuniens. Cela découlait du fait que le gouvernement américain n'avait plus le droit d'imprimer son propre argent pour financer ses opérations.
Ce fut la première fois dans l'histoire depuis la création des États-Unis que le peuple devait payer des impôts sur le revenu.
Les actionnaires les plus importants de la "FEDERAL RESERVE" (de la Fed) étaient :
1 les banques de Rothschild de Londres et de Paris
2. la "Lazard Brothers Bank" de Paris
3. la "Israel Moses Seif Bank" d'ltalie
4. la "Warburg Bank" d'Amsterdam et de Hambourg
5. la "Lehmann Bank" de New York
6. la "Khun Loeb Bank" de New York
7. la "Chase Manhattan Bank" de Rockefeller de New York
8. la "Goldman Sachs Bank" de New York
Le membre du Congrès CHARLES LINDBERGH disait déjà à ce moment-là en parlant de la nouvelle Federal Reserve Bank que sa puissance financière faisait d'elle le "gouvernement invisible".
Comment fonctionne, à vrai dire, cette banque ?
Le "Comité du marché libre" de la Fed produit des "billets de la Federal reserve" (des dollars). Ces billets sont prêtés au gouvernement des États-Unis en échange d'obligations qui servent de sécurité à la Fed. Ces obligations sont entre les mains des douze banques Fed qui en touchent annuellement des intérêts.
Remarque sur la situation actuelle :
En 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d'environ 1.070.241 millions de $ (...ou 1 trillion de $). La Fed récolta donc environ 115.800 millions de $ d'intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la Fed, donc dans celles des banquiers privés internationaux.
En 1992, les obligations possédées par la Fed étaient d'une valeur d'environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C'est la Fed qui a créé tout ce capital en prêtant de l'argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n'a eu qu'à payer les frais d'impression. C'est la plus grande duperie de l'histoire des États-Unis et personne ne l'a remarquée. En plus, la Fed, grâce aux obligations du gouvernement américain, à le droit de gage sur les propriétés publiques et privées de tous les États-Unis. D'innombrables procédures juridiques sont restées jusqu'ici sans effet et n'ont pu annuler la loi de la "Federal Reserve". Juridiquement, il n'y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent puisque la Fed n'est pas un département du gouvernement américain, mais une institution privée. D'après le droit constitutionnel,la Fed n'aurait même pas le droit d’exister.
C'est pourquoi neuf États des États-Unis ont déjà entamé une "procédure d'État" pour annuler la Fed.
Quant à Ronald Reagan, qui faisait partie des esclavagistes internationaux et qui les servi convenablement durant presque tout son règne, il voulut, vers la fin de son dernier mandat de président, libérer les américains de l'emprise des Maîtres Esclavagistes de cette Planète. C'est pourquoi ces derniers lui firent une publicité particulière pour le convaincre de fermer sa gueule et de quitter sa fonction publique en douce... Ils déclarèrent dans les journaux sous leur contrôle que Ronald Reagan était vieux, malade, sénile... sous-entendant qu'il était fini et inapte à continuer de gouverner. Et s'il n'avait pas obtempéré à leur menace suggestive, ils l'auraient tout simplement tué!!!
Tout comme John F. Kennedy, Abraham Lincoln et bien d'autres moins connus, Reagan connaissait la solution de parade à l'esclavagisme éhonté que nous font subir les grandes Banques sous l’emprise des Rothschild, des Rockefeller et d'autres encore ainsi que leurs tentacules ou organes mondiaux et internationaux de contrôle monétaire.
Tuer le porteur du message
L'histoire américaine est pleine de complots et d'histoires de meurtres:rien n'est plus facile que de tuer le porteur du message ,si l'on veut éviter qu'une histoire gênante soit connue du peuple!
Tout parait commencer lorsqu'un président alerte et juste,Andrew Jackson,voulut changer la Charte des Banques aux États-Unis.Il cherchait surtout à vouloir fermer une banque privée qui portait le nom de " Bank of the United States".Cette banque avait la prétention d'affirmer "qu'elle était une partie légitime du gouvernement fédéral américain" ...de façon à attirer les capitaux vers ses coffres!
Le président Andrew Jackson s'était longuement battu pour arrêter les agissements de " la Banque des États-Unis" - une banque privée l. Jackson a mis son veto sur une facture de 1832 de "ré-charte" de la banque - le "point chaud" d'une lutte permanente avec Nicolas Biddle, président de la banque qui a finalement conduit à une tentative d'assassinat sur la personne du président Jackson, en 1835.
Jackson affirmait avec son droit de veto:
«Si nous ne pouvons au moins, dans l'intérêt de la justice,sans tenir compte pour les intérêts acquis au titre de la législation imprévoyante, faire de notre gouvernement ce qu'il devrait être dans les faits, nous pouvons au moins prendre position contre toutes les nouvelles subventions de monopoles et de privilèges exclusifs, contre toute prostitution de notre gouvernement pour l'avancement de la minorité au détriment de la majorité. "
Cette parole du président Jackson,ressemble étrangement à une dénonciation de complot pour le contrôle des finances publiques!
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HORS TEXTE
Regards sur Andrew Jackson
Près du peuple, Jackson ne supporte pas les politiciens professionnels et les institutions qui tendent à acquérir un pouvoir indépendant. Il met son veto à la reconduction de la banque centrale créée en 1781 par Hamilton pour gérer la dette nationale et renforcer le pouvoir fédéral.
Enfin, le 13 décembre 1814, Jackson est à La Nouvelle-Orléans en Louisiane pour se battre contre les Britanniques dans la dernière bataille de la guerre de 1812. La nouvelle de l’armistice signé la veille de Noël 1814 (le 24 décembre) par le traité de Gand n'étant pas parvenue, la bataille se déroule le 8 janvier 18151 entre 8 000 soldats britanniques entraînés et environ 4 000 rustauds dont une grande partie sont des partisans du corsaire-pirate Jean Lafitte qui fait la loi dans la région des Caraïbes. La victoire vaudra à Jackson d’être considéré comme un héros national ; les pertes britanniques s’élèvent à 2 036 hommes alors qu’il n’a perdu que sept hommes.
Il ne s’embarrasse pas non plus d’un gouvernement avec qui il se dispute souvent et il s’entoure de conseillers, son « gouvernement dans la cuisine », avec qui il prend ses décisions.
Le sud, surtout agricole, ne voulait pas des droits de douane élevés, au contraire du nord qui mettait en place son industrie. La crise est résolue en 1833 par une forte baisse des droits de douane et marque la victoire de l’intérêt individuel des États sur le gouvernement fédéral.
Points négatifs de sa carrière:
En 1829, avec l'augmentation de la population et la découverte d’or sur les territoires des Cherokees, Jackson signe le Indian Removal Act (loi permettant le déplacement (removal) de force des Indiens) voté par le Congrès pour l'utilisation de ces terres. La Cour suprême juge la loi contraire à la Constitution mais Jackson refuse d'appliquer le jugement. L'État de Géorgie attribue les terres des Cherokees au cours d’une loterie et Jackson envoie des troupes pour déporter les Indiens à marches forcées au-delà du Mississippi. Cet épisode coûte la vie à environ 4 000 indiens Cherokees (25 % de la population) au cours d’un périple empruntant la piste connue sous le nom de Piste des Larmes » (« Trail of Tears »).
Un dossier daté de 1790 du tribunal du comté de Sumner, Tennessee, est découvert en 1859 par un historien nommé Waldo Albigence Putnam. Dans celui-ci, Andrew Jackson apparemment « proved a bill of sale from Hugh McGary to Gasper Mansker, for a Negro man, which was OK » (« produisit un acte de vente de Hugh McGary à Mansker Gasper, pour un nègre, qui était OK »), première mention du terme « OK ». En fait, il s'agirait d'une faute d'orthographe : « OK » pour « Oll Korrect » au lieu de « All Correct ».
Le 4 mars 1829,Investiture d’Andrew Jackson en tant que septième président des États-Unis. C’est le premier président élu qui ne fait pas partie du cercle des politiciens qui ont participé à la Guerre d’indépendance et à la rédaction de la Constitution. Il bénéficie autant du soutien des fermiers de l'Ouest que de celui des citadins, qui apprécient ses origines modestes (il est surnommé le « friend of the common man »). Dans son discours inaugural il annonce qu’il fera le nécessaire pour vider l'Est du continent des Indiens, et occuper leurs territoires.
En 1829, avec l'augmentation de la population et la découverte d’or sur les territoires des Cherokees, Jackson signe le Indian Removal Act (loi permettant le déplacement (removal) de force des Indiens) voté par le Congrès pour l'utilisation de ces terres. La Cour suprême juge la loi contraire à la Constitution mais Jackson refuse d'appliquer le jugement. L'État de Géorgie attribue les terres des Cherokees au cours d’une loterie et Jackson envoie des troupes pour déporter les Indiens à marches forcées au-delà du Mississippi.
Le 28 mai 1830,le Congrès vote et Jackson signe la loi d’expulsion des Indiens de tous les États de la côte Est et leur implantation dans les territoires à l’ouest de la plaine du Mississippi. Ce fut ce que l'on appela « La piste des larmes », car il fit déporter près de 80 000 indiens dont plus de 10 000 moururent avant d'être arrivés en Oklahoma. Cet acte est le plus spectaculaire du génocide qui a touché les Amérindiens. À ce souvenir, des Amérindiens refusent encore actuellement de se servir du billet de 20 dollars à son effigie.
Le 29 janvier 1834,Jackson utilise pour la première fois l’armée pour briser une grève des ouvriers qui construisent le canal entre Washington et l’Ohio.
En 1806 Jackson tue en duel un homme avec qui il s’était disputé pour une dette de jeu. Il reçoit une balle dans la poitrine qu’il gardera jusqu’à sa mort.À la fin de son second mandat, en 1837, Jackson retourne dans sa maison au Tennessee. Après avoir servi dans l’armée, être devenu un héros et après avoir été président pendant huit ans il déclare qu’il rentre chez lui avec « à peine 80 dollars dans sa poche ». Il meurt le 8 juin 1845 ; son décès est aujourd’hui attribué à un empoisonnement au plomb à la suite d’une blessure reçue en 1813.
Richard Lawrence ,le "tueur payé"
Richard Lawrence: 1800? - Juin 13, 1861) est la première personne connue ayant fait une tentative d'assassinat du président américain: Andrew Jackson. Richard est né en Angleterre en 1800 ou 1801. Au moment où il atteint l'âge adulte, il a été considéré comme malade mental.
Le 30 janvier 1835,Richard Lawrence s'était caché derrière un pilier ,près duquel le président Andrew Jackson devait passer.
Quand il ouvrit le feu ,les deux pistolets qu'il tenait ,s'enrayèrent et son coup échouat!L'humidité très grande ,cette journée-là,serait responsable de son échec.
Lawrence a été jugé le 11 avril 1835 au " District of Columbia City Hal"l. Le procureur était Francis Scott Key. Après seulement cinq minutes de délibération, le jury a déclaré non coupable Lawrence, en raison de la folie. Dans les années suivantes à sa condamnation, il a été pris en charge par plusieurs institutions et hôpitaux. En 1855, il a été interné à l'hôpital public nouvellement ouvert pour les aliénés (plus tard rebaptisé Saint Elizabeths Hospital) à Washington, DC, où il demeura jusqu'à sa mort en 1861.
Le complot
Andrew Jackson était persuadé que Richard Lawrence faisait partie d'un complot pour attenter à sa vie et prendre le contrôle de la présidence.
Jackson avait soupçonné également un ancien ami et partisan, le sénateur George Poindexter du Mississippi, qui avait utilisé Richard Lawrence pour faire quelques travaux de peinture à sa maison, quelques mois plus tôt. Poindexter a été incapable de convaincre ses partisans dans le Mississippi qu'il n'était pas impliqué dans un complot contre le président, et a été défait à la réélection.
La meilleure façon de cacher ce complot était de faire enfermer Richard Lawrence dans un asile d'aliénés,une méthode qui sera utilisée à outrance,par les communistes soviétiques pour éliminer des opposants politiques.
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Ron Paul incarne une grande partie de ce que Jackson s'est efforcé de faire pour - faire respecter la Constitution et la lutte contre le contrôle bancaire. Ron Paul se bat constamment et sans relâche afin de mettre fin au contrôle des impôts sur le revenu des Américains ordinaires et de fermer la Réserve fédérale (autre banque privée trompeusement nommée "publique" ) - il y a quelque chose de commun avec ce que Huey P. Long, gouverneur populiste de la Louisiane mieux connu comme The Kingfish eut aussi envie de faire.
Huey Long
Né à Winnfield en Louisiane le 30 août 1893, ce fils de fermiers devint avocat puis fut élu en 1918 dans sa Louisiane natale à la State Railroad Commission, un organisme qui sous sa férule devint la Public Service Commission, où il ne manqua pas une occasion d'attaquer la Standard Oil et son patron, Rockefeller.
Une fois au pouvoir, Long épure l'administration en y plaçant ses hommes selon le spoils system. Il instaure alors un système de clientélisme et de « racket », ponctionnant les revenus de tous les fonctionnaires lui devant leur emploi. Il mit en place un grand programme de travaux publics pour faire face à la crise (routes, hôpitaux, écoles, construction d'un nouveau Capitole de Louisiane, de la Old Louisiana Governor's Mansion , digue du lac Pontchartrain, etc.). Comme Roosevelt plus tard, Long fait un large usage de la radio et du téléphone, demandant à ses auditeurs d'« appeler cinq de [leurs] amis en leur disant que Huey est sur les ondes ».
Il s'associe également à la Mafia, en particulier avec Meyer Lansky, l'organisation criminelle voulant exploiter des hôtels-casinos en Louisiane. Après la fuite de Frank Costello de New York, chassé par le maire Fiorello La Guardia élu en 1933, il invita ce dernier à La Nouvelle-Orléans partager les revenus des salles de jeux clandestins.
Huey Long soutint Roosevelt à la présidentielle de 1932, mais se brouilla avec lui, le jugeant trop lié à la haute finance. Il s'attira alors les foudres du monde de la haute finance qui le qualifia même de « fasciste », tandis que Roosevelt le qualifia, avec le général Douglas MacArthur, d'un des deux hommes les plus dangereux des Etats-Unis . Roosevelt, qui le compare à Hitler et Mussolini, tente de l'écarter, en commanditant une enquête de l'IRS (le fisc), qui affecte plusieurs de ses subordonnés mais manque Long lui-même.
Il fonde alors, en 1932 , le mouvement Share Our Wealth Long , proposant une concession rurale pour chaque famille américaine, un revenu annuel de 2 500 $, et un impôt sur la fortune et sur les revenus de plus de 5 millions de $ et les revenus annuels de plus de 1 million de $ (soit respectivement 64,5 millions et 84,7 millions d'euros actuels). Il fonde aussi un journal national, l'American Progress , pour soutenir sa personne. Dirigé par le révérend Gerald L. K. Smith , membre du groupe antisémite Christian Nationalist Crusade , le mouvement Share our Wealth connaît cependant un succès foudroyant : un an à peine après sa fondation, il compte 27 000 clubs et plus de 7 millions d'adhérents .
Long s'oppose à la Réserve fédérale, au National Recovery Act qu'il considère comme un cadeau fait aux grandes entreprises et au projet de loi de Glass sur les banques, accusant celui-ci de favoriser les banques fédérales au détriment des banques locales; il soutiendra en 1933, après amendements, le Glass-Steagall Banking Act. Il se déclare par ailleurs anti-communiste, fondant son programme sur la Bible et la Déclaration d'indépendance. Il débat en 1934 avec le représentant du Parti socialiste d'Amérique, Norman Thomas, défendant son programme contre le projet socialiste.
Après une tournée nationale faite au printemps 1935, il annonça son intention de devenir candidat à la primaire démocrate pour la présidentielle de 1936, mais il fut victime d’un attentat le 8 septembre 1935 au Capitole de Louisiane, à Bâton-Rouge — les marques des balles y sont toujours visibles sur le mur. Blessé grièvement par Carl Weiss (gendre de l’un des ennemis de Long, belliciste notoire), il succomba deux jours plus tard, le 10 septembre. Ses derniers mots furent « Seigneur, ne me laissez pas mourir, j'ai tant de choses à accomplir ».
La vie et la mort de cet homme nous prouve qu'une vision populiste de droite peut faire beaucoup dans une lutte de libération nationale.Je désapprouve fortement son association avec la mafia juive de l'époque,mais j'endosse son engagement politique...globalement!
Huey Long en s'en prenant au contrôle monétaire de la Federal Reserve Bank et en voulant se battre pour le peuple ,nous ouvre une une fenêtre,un regard sur une méthode pour réussir une action de masse!
Il s'agit probablement du plus grand leader de la droite américaine.
Robert Kennedy et Matin Luther King
Bobby Kennedy a été assassiné la nuit même où il a remporté la première investiture démocrate de la Californie - un Etat avec suffisamment de voix au Collège électoral pour initier l'élan critique et gagner l'investiture du parti démocrate. Son assassinat ,le 6 Juin 1968 est venu quelques mois avant la fin de la Convention démocrate en Août 1968.
De même, le Dr Martin Luther King a été assassiné le 4 Avril 1968, et il avait été dit qu'il serait le possible colistier si Bobby Kennedy remportait l'investiture à la présidence.
Ces deux hommes ,unis dans un même combat,auraient changé à tout jamais l'histoire de l'Amérique,mais des "forces obscures" en ont décidé autrement.
Peu importe, le puissant sentiment anti-guerre véhiculé par les deux dirigeants,c' était en soi une menace viable à l'establishment, qui a refusé de mettre fin à la guerre du Vietnam pour aussi longtemps que possible. Cela, couplé avec le mouvement des droits civiques qu'ils représentaient aussi, fait que ces deux icônes des années soixante,des agents dangereux pouvant provoquer le changement : ils ne pouvaient tout simplement pas être autorisés à être élu.. par le Nouvel Ordre Mondial,ils fallait donc qu'ils meurent.
Robert Kennedy,juste avant son assassinat ,disait en conférence:
"Je ne suis pas candidat à la présidence simplement pour m'opposer à tout le monde, mais pour proposer de nouvelles politiques. Je me lance parce que je suis convaincu que ce pays est sur une voie périlleuse et parce que j'ai des sentiments forts sur ce qu'il faut faire,... et je sens que je suis obligé de faire tout mon possible. "
Le président James Garfield, aussi, avait été assassiné sur les questions monétaires en 1881, après seulement quelques mois en fonction. Des extraits de son discours inaugural révèlent d'éventuels motifs connexes, comme l'or, l'argent et la tentative de la banque de rétablir le pouvoir de la haute finance qui seraient les questions litigieuses de cette période.
«L'or et l'argent sont le seul fondement sûr pour un système monétaire ... Si un tel ajustement devrait être possible et mis en place, le pouvoir d'achat de chaque dollar inventé serait exactement égal au pouvoir de l'argent-dette dans tous les marchés du monde , " dixit Garfield .
"Les finances du gouvernement ne doivent subir aucun préjudice possible pour mon administration afin de prévenir toute mainmise," sont les mots de Garfield qui peuvent avoir empêché son administration d'aller plus loin!
EN RÉSUMÉ
La volonté de plusieurs hommes politiques américains courageux de s'opposer au pouvoir de "L'argent-dette" établi par les banques privées,fondatrices de la Federal Reserve Bank ,nous montre clairement que la vie sous le Nouvel Ordre Mondial est menacée de toutes parts.
Abraham Lincoln l'avait compris sur le tard,il aura fallu une guerre fratricide provoquée de l'étranger par des banquiers véreux, pour lui faire comprendre le niveau élevé de corruption dans lequel baigne "la politique elle-même"!Ce grand législateur s'était objecté à signer un chèque en blanc pour taxer l'avenir des citoyens et citoyennes d'Amérique!Le contrat de sa mise à mort fut signé le jour ou il décida de renoncer aux prêts offerts par la banque de la famille Rotschild et ,à la place,lança un "billet vert" (Green Back) sur lequel était clairement inscrite l'autorité du gouvernement du peuple américain de contrôler "légalement" l'impression de ses billets de banque.
La perte combinée de bénéfices de guerre et le contrôle des dettes inflationnistes est reconnu par de nombreux historiens comme un facteur de motivation dans son assassinat.
L'histoire américaine révèle à elle-seule, une tendance évidente de tentatives d'assassinat sur la vie de tous les réformateurs , de personnes braves s'opposant et défiant le complexe militaro-industriel et bancaire basé sur l'oligarchie qui a été au pouvoir de ce pays depuis plus de 100 ans et qui a toujours lutté pour le contrôle total des finances publiques ,particulièrement en ce qui touche le système bancaire lui-même!
Une seconde révolution américaine est plus que jamais,rendue nécessaire afin de permettre au peuple américain de reprendre le contrôle de ses finances, de sa politique intérieure et extérieure ainsi que de son environnement!
Un peuple qui croupit sous l'esclavage d'un pouvoir occulte ne peut que participer à l'emprisonnement des autres peuples de la Terre...après son propre emprisonnement!
Michel Duchaine
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